Codex Battleford
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{15- mission St Vital 1885 – (Suite) à Bford T. N. ouest [underlined] -15
Tout le mois d’avril se passa ainsi au milieu de vives anxiétés, de fréquentes alarmes et de grandes fatigues pour les réfugiés – quand tout à coup – arrivaient des secours depuis [added] longtemps attendus: une Compagnie de volontaires Canadiens bien armés qui prit les quartiers [added] dans la maison du Lt. [added] Gouverneur sur les hauteurs au sud de le rivière Bataille – Cependant les nouvelles qui venaient de Batoche où le général Middleton était campé avec ses volontaires Canadiens, n’étaient pas des plus rassurantes – Les Métis s’étaient fait des tranchées – aux haut des côtes – toutes protégées par un bois épais – Ils se tenaient toujours aux aguets : Le Général temporisait – étudiant la situation ils n’osait agir avec trop d’empressement et [crossed out] ne [added] se jetter [sic] dans quelque quel-apens et s’exposer à une défaite –
Les volontaires Canadiens [added] ayant à leur tête le colonel Otter, le xxxxx [crossed out] Major Strange été résolurent d‘aller surprendre Poundmaker et sa bande Chez lui; Grande était les inquiétudes du Père à St Vital au sujet du R.P. Cochin dont il à avait pas reçu [added] mot depuis quelques semaines Les métis à Bresaylor où se trouvait le R.P. Cochin avaient été faits prisonniers et amenés par les Sauvages dans le camp du Chef Poundmaker : Le troupe canadienne au nombre de 300 par [crossed out] [added] au [crossed out] à laquelle plusieurs volontaires de Battleford s’étaient joints partit le 1er mai au soir, traversèrent toute la nuit et le jour suivant vers 5 heures du matin, comme ils arrivaient à Cut Knife; (petit ruisseau, a 40 milles de Battleford [added] un Coup de fusil de l’avant garde signalait la découverte du camp des Sauvages – Ceux-ci entendant une détonation saisirent leurs Armes et coururent dans un bas fond se cacher derrière des bosquets. Les volontaires Canadiens occupaient la butte du Cut Knife – et commencaient [sic] une fusillade qui dura 7 heures les Sauvages caches au bas de la butte par un rideau d’arbustes : n’étaient pas nombreux mais pour tromper les Canadiens et}
Tout le mois d’avril se passa ainsi au milieu de vives anxiétés, de fréquentes alarmes et de grandes fatigues pour les réfugiés – quand tout à coup – arrivaient des secours depuis [added] longtemps attendus: une Compagnie de volontaires Canadiens bien armés qui prit les quartiers [added] dans la maison du Lt. [added] Gouverneur sur les hauteurs au sud de le rivière Bataille – Cependant les nouvelles qui venaient de Batoche où le général Middleton était campé avec ses volontaires Canadiens, n’étaient pas des plus rassurantes – Les Métis s’étaient fait des tranchées – aux haut des côtes – toutes protégées par un bois épais – Ils se tenaient toujours aux aguets : Le Général temporisait – étudiant la situation ils n’osait agir avec trop d’empressement et [crossed out] ne [added] se jetter [sic] dans quelque quel-apens et s’exposer à une défaite –
Les volontaires Canadiens [added] ayant à leur tête le colonel Otter, le xxxxx [crossed out] Major Strange été résolurent d‘aller surprendre Poundmaker et sa bande Chez lui; Grande était les inquiétudes du Père à St Vital au sujet du R.P. Cochin dont il à avait pas reçu [added] mot depuis quelques semaines Les métis à Bresaylor où se trouvait le R.P. Cochin avaient été faits prisonniers et amenés par les Sauvages dans le camp du Chef Poundmaker : Le troupe canadienne au nombre de 300 par [crossed out] [added] au [crossed out] à laquelle plusieurs volontaires de Battleford s’étaient joints partit le 1er mai au soir, traversèrent toute la nuit et le jour suivant vers 5 heures du matin, comme ils arrivaient à Cut Knife; (petit ruisseau, a 40 milles de Battleford [added] un Coup de fusil de l’avant garde signalait la découverte du camp des Sauvages – Ceux-ci entendant une détonation saisirent leurs Armes et coururent dans un bas fond se cacher derrière des bosquets. Les volontaires Canadiens occupaient la butte du Cut Knife – et commencaient [sic] une fusillade qui dura 7 heures les Sauvages caches au bas de la butte par un rideau d’arbustes : n’étaient pas nombreux mais pour tromper les Canadiens et}
