Codex Battleford
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{31 Mission St Vital Année 1888 (suite) – Battleford Sask - 31
Le 3 oct, l’assistante de la maitresse d’école quitta l'enseignement] pour se marier; Dlle O Dowal resta seule à faire la classe à des élèves nombreux.
A l’automne la moisson fut excellente les fermiers n’avaient pas été déçus dans leurs espérances.- Les Catholiques en général se montraient bous chrétiens et pratiquaient leur religion. L’Entourage de protestants les relatives fréquentes qu’ils avaient avec eux – les invitations aux danses – les exemples peu édifiants qu’ils avaient sous les yeux – ils étaient bien [crossed out; naturellement les] exposaient à se relâcher. Aux jours de fêtes d’obligation l’assistance à la messe était plus faible qu’aux jours du dimanche – on en vit cependant quelques uns se marier à des protestants devant le ministre le qui obligeait leur prêtre de les en blâmer publiquement pour les ramener à l’ordre et afin de prévenir les bons de s’oublier. A Noel une dance Catholique recueillie la somme de $ 40.00 pour garnir un arbre de bonbons et de présents. Jouets etc. pour [crossed out; et] faire une fête aux enfants du l’école Catholique. A cet effet ou prépara une séance du chant : poésie et dialogues. Les parents et plusieurs autres personnes y assistèrent et tout se passa a la satisfaction de tout le monde. La population des Catholiques en 1888 était comme suit Catholiques (Blancs) 214, Métis 279 Total = 493. Quant aux protestants ou complait 150 presbytériens et environ 300 Anglicans – qui avaient chacun leur temple – Les francs-maçons avaient aussi leur loge – Ils se protégeaient entre eux – accaparaient les positions lucratives et en excluaient le plus qu’ils pouvaient les Catholiques. Le 28 Sept. Mgr. Grandin établit [crossed out] érigea la confrèrie du T. St, Rosaire et autorisait le Directeur de St Vital de [crossed out] et a [crossed out] son remplaçant ou successeurs d y recevoir les fidèles. Après Noël le prêtre fit ses visite aux Catholiques de langue Anglaise –}
Le 3 oct, l’assistante de la maitresse d’école quitta l'enseignement] pour se marier; Dlle O Dowal resta seule à faire la classe à des élèves nombreux.
A l’automne la moisson fut excellente les fermiers n’avaient pas été déçus dans leurs espérances.- Les Catholiques en général se montraient bous chrétiens et pratiquaient leur religion. L’Entourage de protestants les relatives fréquentes qu’ils avaient avec eux – les invitations aux danses – les exemples peu édifiants qu’ils avaient sous les yeux – ils étaient bien [crossed out; naturellement les] exposaient à se relâcher. Aux jours de fêtes d’obligation l’assistance à la messe était plus faible qu’aux jours du dimanche – on en vit cependant quelques uns se marier à des protestants devant le ministre le qui obligeait leur prêtre de les en blâmer publiquement pour les ramener à l’ordre et afin de prévenir les bons de s’oublier. A Noel une dance Catholique recueillie la somme de $ 40.00 pour garnir un arbre de bonbons et de présents. Jouets etc. pour [crossed out; et] faire une fête aux enfants du l’école Catholique. A cet effet ou prépara une séance du chant : poésie et dialogues. Les parents et plusieurs autres personnes y assistèrent et tout se passa a la satisfaction de tout le monde. La population des Catholiques en 1888 était comme suit Catholiques (Blancs) 214, Métis 279 Total = 493. Quant aux protestants ou complait 150 presbytériens et environ 300 Anglicans – qui avaient chacun leur temple – Les francs-maçons avaient aussi leur loge – Ils se protégeaient entre eux – accaparaient les positions lucratives et en excluaient le plus qu’ils pouvaient les Catholiques. Le 28 Sept. Mgr. Grandin établit [crossed out] érigea la confrèrie du T. St, Rosaire et autorisait le Directeur de St Vital de [crossed out] et a [crossed out] son remplaçant ou successeurs d y recevoir les fidèles. Après Noël le prêtre fit ses visite aux Catholiques de langue Anglaise –}
